Votre lecture du moment

Je fais un plus rare détour pour moi, vers la non-fiction, découvrant sur ma propre histoire, m'étant découverte descendante directe de ce clan la semaine dernière :

Oh intéressant, surtout si ça permet de creuser les origines ^^


En ce moment, je lis Toi seul, de David Rosenfelt, dont le pitch m'avait beaucoup intriguée à sa lecture (un homme à une soirée qui se voit confier par un inconnu alcoolisé qu'il a tué une femme, et il lui donne le nom de la personne et l'emplacement du corps). Et franchement, je me régale, il est super agréable à lire !!

The Secret History - Donna Tartt

Je commence ma lecture de "Terrienne", par Jean-Claude Mourlevat.

Je suis en train de lire "Quand les philosophes parlent des femmes" (Librio), qui reprend des citations choisies de grands philosophes sur les propos qu'ils ont pu tenir sur les femmes. J'ai investi 3 euros dans ce livre avec la ferme intention de pester tout du long, et bingo, objectif atteint !     Même si oui, je sais, contexte historique, gnagnagna. Mais parfois, c'est rigolo de suivre l'évolution de la connerie humaine —et dans le cas présent, masculine. Surtout quand on réalise qu'encore aujourd'hui, certains n'ont finalement pas évolué de certains de ces schémas de pensée. J'en suis à Montaigne là ; plus qu'une citation, c'est un pavé entier. Yeurk.

J'ai commencé "Au-revoir là haut", de Pierre Lemaitre, il y a quelques jours. Je n'en suis qu'à une cinquantaine de pages, donc pas grand commentaire pour le moment :-)

J'ai mis en pause la lecture du livre que je mentionne au-dessus parce que j'ai été prise d'une furieuse envie de lire Jessie (Stephen King), que j'ai bientôt fini d'ailleurs. Il est prenant...

En ce moment, je lis "Je te promets la liberté" (Laurent Gounelle). J'ai lu une centaine de pages aujourd'hui (j'ai le temps, hein ), Laurent Gounelle se spécialise comme toujours dans l'épanouissement personnel et la lecture feel-good, dont j'avais très envie ces jours-ci ^^

J'en suis à une soixantaine de pages de "Les surdoués ordinaires" (Nicolas Gauvrit) (merci encore Prune ) et pour le moment, je le trouve vraiment très, très bien ! J'apprécie son angle d'approche, ses développements sont écrits de manière limpide. L'ensemble paraît bien documenté et bien réfléchi. Une lecture très appréciable.

Rien à voir avec le cœur du sujet, mais j'ai découvert l'expression "ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain" à un moment donné, et je ne sais pas si c'est connu et que je n'avais jamais eu l'occasion de l'entendre, mais je tiens à dire que je suis encore traumatisée par l'image.


"Embrace your weird" (Felicia Day) - Je ne sais pas si ça compte réellement comme une lecture puisqu'il s'agit d'un livre interactif où Felicia nous invite à faire des petits exercices ci et là, mais je dois dire que c'est ultra enjoyable ! Je l'ai commencé aujourd'hui et je me suis régalée.

Je profite de mes congés dans le sud pour lire le premier tome de "Hunger Games" en VO ! Excellent, je me régale ! Je suis notamment très marquée par combien on découvre Peeta sous un autre jour dans les livres. Moi qui aime beaucoup la relation dans les films, je l'aime encore plus dans les livres.

Je me souviens avoir énormément doutée de Peeta dans le premier tome (on lit sous le regard de Katniss après tout), quand j'y repense, ça me fait marrer maintenant, comment j'ai pu douter de Peeta

Je suis en plein dans le Lolita de Nabokov, autour de la 200e page (je crois qu'il m'en reste environ 300). J'ai adoré les premiers chapitres : le style est merveilleux et, surtout, ce à quoi je ne m'attendais pas, absolument drolatique. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai ri devant les phrases interminables du narrateur et l'absurdité des situations. Très curieux de voir s'il va y avoir, à un moment donné, une rupture de style (car je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus dramatique, sinon tragique).

Oui, c'est un livre vraiment drôle (effectivement contre toute attente). Je l'ai lu ouatmille fois, mais cela fait vraiment longtemps ; tu me donnes envie de le relire !

Sans spoiler, la seconde partie du livre est plus dramatique et également beaucoup moins érotique que la première partie (même si je me doute que ce n'est pas forcément l'aspect qui a dû te frapper le plus dans cette dernière ).

(Je ne connaissais pas le mot "ouatmille" et j'ai envie de l'adopter instantanément.)

J'ai largement entamé la seconde partie, et la rupture de style est très claire, et elle est brutale et choquante ("Elle n'avait, voyez-vous, absolument nulle part où aller." ). Si la première partie pouvait tenter de faire illusion sur le caractère potentiellement érotique de la relation (même si, oui, c'est déjà pas l'aspect auquel j'ai été le plus sensible ), la seconde jette une lumière crue et macabre sur la réalité de ce que ça implique. Je trouve ça brillant. Quelle manipulation émotionnelle !

(Je l'emploie tout le temps à l'oral, mais c'est la première fois que je l'écris. Tu noteras que j'ai préféré le "ouat" au "what", principalement pour son absence de dignité )

La seconde partie est tellement cafardante que, lors de mes multiples relectures, je l'ai plusieurs fois sautée.
Je suis d'accord pour la manipulation, même si elle n'est que partielle dans la mesure où, même vues par le prisme de l'imagination pour le moins enfiévrée d'Humbert , les attitudes de Lolita ne vont jamais au-delà des minauderies et du plaisir narcissique et un peu dominateur de voir opérer son charme qui sont susceptibles de caractériser l'attitude de nombre d'adolescentes, voire de préadolescentes.

(Je me doutais bien que l'érotisme ne te bouleverserait pas - ce serait un peu comme attendre du Portrait de Dorian Gray qu'il fasse monter la température chez un homme hétéro )

J'ai terminé Lolita. J'ai trouvé la seconde partie plus longuette que la première, et aussi moins moralement ambigüe : dans la première partie, tant qu'Humbert n'est pas passé à l'acte, on peut "accorder le bénéfice du doute", et on est comme séduits par sa prose drôle et inspirée. Dans la seconde partie, une fois qu'il est passé à l'acte et que débute la cavale macabre, bon... ; l'ambiguïté morale disparaît, il est un criminel.
Même si, ce qui est formidable, je trouve, c'est qu'on réalise surtout a posteriori qu'on avait été presque séduits, c'est-à-dire manipulés, par la prose d'Humbert, alors qu'elle romantise le lugubre. Sur ce plan, le début de la seconde partie (de motel en motel) est formidable en ce qu'il nous montre concrètement (matériellement et physiquement - glauquement) ce qu'implique sa relation avec Lolita.
J'ai lu quelque part, en substance, qu'il fallait sans doute être séduit, au départ, par la prose d'Humbert pour réellement aimer le livre, et je crois que c'est vrai : si on condamne moralement Humbert dès le début, on passe sans doute à côté de quelque chose (la drôlerie de sa prose, et l'intelligence avec laquelle il manipule le lecteur en multipliant les références historiques et littéraires).
Deux très grands chapitres dans la seconde partie : les retrouvailles avec Lolita (ou devrais-je dire avec Dolores), bouleversantes ; le dernier chapitre, désopilant au possible, qui conclut merveilleusement le livre, dans une tonalité proche des débuts du livre. (pour l'anecdote : mon édition, folio, comprend une espèce de postface "A propos d'un livre intitulé Lolita", mais je ne le savais pas donc j'ai terminé le livre en croyant qu'il me restait une quinzaine de pages... Arrivé à la dernière page, ignorant que c'était la dernière page, j'ai failli hurler "noooooon !!" )

Je suis intriguée par ce que vous dites du livre. Je ne sais pas s'il me plairait, mais il me donne envie en tout cas ! :-)

Je lis actuellement le deuxième tome d'Hunger Games :-) Ça accompagne mes moments de "larvage au bord de la piscine", ah ah. Semaine qui passe bien trop vite

Ludo a écrit:

J'ai terminé Lolita. J'ai trouvé la seconde partie plus longuette que la première, et aussi moins moralement ambigüe : dans la première partie, tant qu'Humbert n'est pas passé à l'acte, on peut "accorder le bénéfice du doute", et on est comme séduits par sa prose drôle et inspirée. Dans la seconde partie, une fois qu'il est passé à l'acte et que débute la cavale macabre, bon... ; l'ambiguïté morale disparaît, il est un criminel.
Même si, ce qui est formidable, je trouve, c'est qu'on réalise surtout a posteriori qu'on avait été presque séduits, c'est-à-dire manipulés, par la prose d'Humbert, alors qu'elle romantise le lugubre. Sur ce plan, le début de la seconde partie (de motel en motel) est formidable en ce qu'il nous montre concrètement (matériellement et physiquement - glauquement) ce qu'implique sa relation avec Lolita.
J'ai lu quelque part, en substance, qu'il fallait sans doute être séduit, au départ, par la prose d'Humbert pour réellement aimer le livre, et je crois que c'est vrai : si on condamne moralement Humbert dès le début, on passe sans doute à côté de quelque chose (la drôlerie de sa prose, et l'intelligence avec laquelle il manipule le lecteur en multipliant les références historiques et littéraires).
Deux très grands chapitres dans la seconde partie : les retrouvailles avec Lolita (ou devrais-je dire avec Dolores), bouleversantes ; le dernier chapitre, désopilant au possible, qui conclut merveilleusement le livre, dans une tonalité proche des débuts du livre. (pour l'anecdote : mon édition, folio, comprend une espèce de postface "A propos d'un livre intitulé Lolita", mais je ne le savais pas donc j'ai terminé le livre en croyant qu'il me restait une quinzaine de pages... Arrivé à la dernière page, ignorant que c'était la dernière page, j'ai failli hurler "noooooon !!" )

Terminé aussi il y a quelques semaines. Je crois l'avoir encore plus aimé qu'il y a dix ans.
En le finissant, j'étais comblée par la vie

J'ai également beaucoup plus apprécié la seconde partie qu'à l'époque. Son intérêt est très différent de la première, à mon sens. Il y a effectivement l'aspect glauque, qui ouvre les yeux sur la réalité de la "relation" avec Dolorès. A ce propos, il est savoureux (dans le genre grinçant) de comparer les diverses déclarations d'Humbert au fil du livre, s'échelonnant de "nous les nympholeptes inoffensifs, qui ne demandons qu'à contempler de loin l'ombre d'une cheville d'écolière évanescente" à "si j'épousais Lolita, même si elle vieillissait et perdait ses attraits, je pourrai lui faire une petite Lolita n°2, sur laquelle j'aurai des droits légaux... et ensuite une n°3 dont je serai le grand-père"
Mais le charme de cette seconde partie réside pour moi dans le portrait des USA vus par les yeux d'un européen plutôt snob (oserai-je dire que je m'identifie ? ). Les motels de bord de route, les attractions carton-pâte du style "Venez admirer la plus grosse pelote de laine du monde"...
Et évidemment, il y a le style, parfait, plus mélancolique qu’humoristique (et définitivement plus érotique du tout), contrairement à la première partie.

Je crois que je vais ressortir le Ada ou l'ardeur qui moisit dans ma bibliothèque depuis des années.

Miss Kitty a écrit:

Je suis intriguée par ce que vous dites du livre. Je ne sais pas s'il me plairait, mais il me donne envie en tout cas ! :-)

Je ne suis pas sûre que tu adhérerais - principalement pour la raison que Ludo évoque : il faut être un minimum séduit par Humbert dans la première partie pour que le bouquin tienne un peu en haleine.
Après, le style est vraiment extraordinaire. Je vais sûrement lire d'autres Nabokov bientôt, donc je te tiendrai au courant si j'en trouve un plus Kitty-friendly !

D'ailleurs, dans le genre "je relis mes classiques", je pense rejeter un œil à Madame Bovary bientôt. Pour le coup, je pense que le thème du bouquin te parlerait beaucoup plus.




Sinon, suite à une récente orgie de jeux vidéo Sherlock Holmes (excellents, assez difficiles et stimulants, bien que techniquement vétustes), je me suis lancée dans la lecture des romans de Conan Doyle. J'ai trouvé Le chien des Baskerville et Une étude en rouge vraiment très plaisants. Les intrigues sont malignes, et j'apprécie beaucoup l'ambiance "résolvons un meurtre entre le thé et les madeleines".
En revanche, Le signe des Quatre était un peu en-dessous. M'enfin, ça se lit très bien une demi-heure le soir avant de s'endormir. Je pense enchaîner sur les nouvelles.

Prune a écrit:

J'ai également beaucoup plus apprécié la seconde partie qu'à l'époque. Son intérêt est très différent de la première, à mon sens. Il y a effectivement l'aspect glauque, qui ouvre les yeux sur la réalité de la "relation" avec Dolorès. A ce propos, il est savoureux (dans le genre grinçant) de comparer les diverses déclarations d'Humbert au fil du livre, s'échelonnant de "nous les nympholeptes inoffensifs, qui ne demandons qu'à contempler de loin l'ombre d'une cheville d'écolière évanescente" à "si j'épousais Lolita, même si elle vieillissait et perdait ses attraits, je pourrai lui faire une petite Lolita n°2, sur laquelle j'aurai des droits légaux... et ensuite une n°3 dont je serai le grand-père"
Mais le charme de cette seconde partie réside pour moi dans le portrait des USA vus par les yeux d'un européen plutôt snob (oserai-je dire que je m'identifie ? ). Les motels de bord de route, les attractions carton-pâte du style "Venez admirer la plus grosse pelote de laine du monde"...
Et évidemment, il y a le style, parfait, plus mélancolique qu’humoristique (et définitivement plus érotique du tout), contrairement à la première partie.

Je suis parfaitement d'accord. J'ai pris moins de plaisir à lire la seconde partie, mais je ne crois pas que ça puisse être retenu comme un défaut objectif du livre puisque... l'enjeu même de cette seconde partie consiste en cela : ne plus du tout pouvoir trouver le récit plaisant et amusant  

En parlant de Madame Bovary : je l'écoute en livre audio depuis quelques temps. (Je conseille absolument le livre audio aux personnes qui font de l'insomnie.) Comme chez Nabokov, le style est toujours délicieusement drôle, ironique voire franchement acerbe. Flaubert alterne tel un équilibriste entre identification et distance critique envers Emma Bovary, dont on ne sait jamais vraiment si on doit la prendre en pitié ou la trouver ridicule et un peu détestable ; c'est sans doute le fait de ressentir tout cela à la fois qui fait le charme unique de ce livre.

C'est bien comme ça que je m'en souviens !
J'hésite à le commencer, cela dit, parce que j'ai aussi L'éducation sentimentale en attente, que pour le coup je n'ai jamais lu. Je pense que l'attrait de la nouveauté va l'emporter sur la charentaisisation de la relecture

Prune a écrit:

Je ne suis pas sûre que tu adhérerais - principalement pour la raison que Ludo évoque : il faut être un minimum séduit par Humbert dans la première partie pour que le bouquin tienne un peu en haleine.
Après, le style est vraiment extraordinaire. Je vais sûrement lire d'autres Nabokov bientôt, donc je te tiendrai au courant si j'en trouve un plus Kitty-friendly !

D'ailleurs, dans le genre "je relis mes classiques", je pense rejeter un œil à Madame Bovary bientôt. Pour le coup, je pense que le thème du bouquin te parlerait beaucoup plus.

Je suis têtue, je serais quand même curieuse de voir si ça me repousse vraiment ou non Mais je prends les recommandations éventuelles avec grand plaisir :-)

Pour Madame Bovary, j'ai le livre dans ma bibliothèque, j'avais commencé à le lire il y a plus de 10 ans de ça, mais je n'étais pas parvenue à accrocher. J'étais peut-être un peu trop jeune pour me sentir investie à cette époque, je suis curieuse de voir ce que ça donnerait aujourd'hui :-)

20 ans, c'est peut-être un peu trop jeune, en effet.
Souvent, les gens qui n'aiment pas râlent parce qu'il y a trop de descriptions Le texte est assez ironique, mais c'est sans doute peut-être difficile à percevoir quand on ne lit pas attentivement. Généralement, de toute manière, les gens adorent ou détestent.
Pour moi, de souvenir, c'est un super bouquin.

Miss Kitty a écrit:

Je suis têtue, je serais quand même curieuse de voir si ça me repousse vraiment ou non  Mais je prends les recommandations éventuelles avec grand plaisir :-)

A mon sens, tu peux tenter, en ayant par exemple l'envie d'entrer dans l'esprit et de "comprendre" un homme pédophile ; je pense que c'est un bon livre pour ceux/celles qui s'intéressent à la psychologie en général, et aux "déviances sexuelles" en particulier. Je pense que le livre se prête bien à une lecture un peu "clinique". L'essentiel est de ne pas en attendre de morale ou de critique (explicite), car ce n'est pas vraiment le sujet du livre ; une partie importante de l'intérêt du livre est de construire une espèce d'expérience de pensée déroutante, par laquelle on se surprend à sympathiser et à être séduits (dans un premier temps) par un homme par ailleurs présenté comme pédophile  

J'ai terminé Madame Bovary en livre audio. Jusqu'à la toute fin, Flaubert déploie une terrible et cruelle ironie à l'égard de ses personnages, et en particulier à l'égard de cette pauvre Emma Bovary. J'avais étudié Bouvard et Pécuchet au lycée, et il me semblait que la "moquerie" dont Flaubert faisait preuve à l'égard de ses personnages était (relativement) contrebalancée par une certaine tendresse ; on s'y attachait.
Madame Bovary est un livre plus étrange : sous ses abords classiques et très "roman du 19ème", il est extrêmement déroutant dans l'écriture des personnages, constamment médiocres, et surtout constamment tournés en dérision par leur propre auteur. Ça a plutôt bien fonctionné, de mon côté : outre la beauté de l'écriture, c'est un livre qui m'a beaucoup fait rire. Pour ne citer qu'un exemple fameux : "La conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue, et les idées de tout le monde y défilaient dans leur costume ordinaire, sans exciter d’émotion, de rire ou de rêverie."       (je pourrais inverser ce que je disais plus tôt : outre sa drôlerie, la phrase est formellement géniale, comme souvent chez Flaubert...)

Je pense que je me pencherai sérieusement sur l'idée de le lire, ça m'intéresse toujours beaucoup d'explorer des manières de penser qui me sont étrangères —ou, comme c'est le cas ici, des déviances. De comprendre "depuis l'intérieur".


Je reprends ma lecture du second volet de "Hunger Games". J'avais dû l'abandonner quand mes vacances avaient pris fin, cet été. Je me régale ! Je suis conquise par les personnages, par le plot, et par les relations entre les personnages, en particulier celle de Katniss & Peeta.